Oran, le massacre oublié
Le 5 juillet 1962 l'ALN assassine 200 à 300 pieds-noirs à Oran. Sur place, l'armée française a reçu l'ordre de ne pas intervenir.
Vous avez dit bonapartiste ?
Bonapartiste, Jacques Chirac ? Alain-Gérard Slama, qui l'a côtoyé depuis trente ans, nous dresse le portrait d'un conservateur, modéré et libéral. Bref d'un authentique républicain de droite. L'homme politique et le chanteur sont devenus les deux dinosaures de la scène française.
L'exode des pieds-noirs
En 1962, un million de pieds-noirs quitte définitivement l'Algérie. Peu d'entre eux avaient envisagé cette issue dramatique. Leur rapatriement massif était pourtant inéluctable.
L'indépendance de l'Algérie était-elle inévitable ?
Une « troisième voie » — entre les indépendantistes du FLN et les extrémistes de l'OAS — pouvait-elle être envisagée ? Longtemps, les libéraux des deux camps ont voulu croire à cette solution. En vain, affirme Alain-Gérard Slama. L'Algérie était la France ou elle n'était rien.
Oran, 5 juillet 1962 : le massacre oublié
Le 5 juillet 1962, 200 à 300 pieds-noirs sont assassinés à Oran par l'ALN. Sur place, l'armée française a reçu l'ordre de ne pas intervenir. Retour sur un massacre oublié.
De Bonald à Tocqueville, les maîtres a penser
La droite a eu ses théoriciens. Traditionalistes et contre-révolutionnaires comme Maistre ou Bonald, libéraux comme Tocqueville ou Benjamin Constant, monarchistes-ultranationalistes comme Maurras. Issus de courants différents, ils ont eu un point commun : celui de se lire dans le miroir que leur tendait la gauche.
Le complexe de l'homme de droite
La droite doit-elle assumer sans honte sa vocation conservatrice ? C'est l'opinion d'Alain-Gérard Slama, qui parle ici en historien engagé. A la veille d'échéances électorales décisives.
La tyrannie du droit
Un procès pour apologie de crime de guerre est intenté contre l'ancien chef des services spéciaux en Algérie, le général Paul Aussaresses, auteur de Mémoires cyniques sur la guerre d'Algérie. Une juste sanction envers un homme qui ne regrette rien ? Ou une menace contre la liberté d'expression ?
Pourquoi les Français l'aimaient tant...
Comment expliquer l'incroyable popularité de François Mitterrand auprès des Français ? Malgré les révélations sur son passé, sur sa santé, sur les affaires. Alain-Gérard Slama analyse la « tontonmania ».