Le régime soviétique fit de ses sportifs l'incarnation de l'homme nouveau.

Un documentaire et un livre permettent de mieux comprendre la réalité des camps soviétiques.

La légende de Raspoutine, moine sulfureux, a commencé de son vivant.

Tour à tour encensé, censuré et interdit, le chef-d'oeuvre de Renoir renaît en numérique. Un beau travail de la cinémathèque de Toulouse.

A travers Ivan le Terrible, le cinéaste Eisenstein dépeint la dérive autoritaire du pouvoir de Staline. Qui ne s’y est pas trompé.

Nicolas II, dernier tsar de Russie, et sa famille ont été exécutés par les bolcheviks dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918. Cet assassinat a été perpétré dans des conditions obscures et a nourri les plus extravagantes hypothèses. Aujourd'hui, les historiens russes rouvrent le dossier.

Auréolé d'une légende noire, le personnage conserve une part de son mystère. Si l'influence politique de Raspoutine a été exagérée, sa proximité avec la famille impériale a sans doute contribué à renforcer l'isolement de Nicolas II.

La cinémathèque de Toulouse propose une série de manifestations sur le « Cinéma stalinien », avec en particulier la présentation de films rarement vus en France du réalisateur Sergueï Eisenstein. L’occasion de suivre l’itinéraire de cet homme paradoxal qui, encensé par la critique officielle pour de fabuleuses oeuvres de propagande, comme Octobre ou Le Cuirassé Potemkine, fut aussi un adversaire du totalitarisme. Et mourut dans la disgrâce.

Le symbole même de la culture et du mode de vie américains installé au cœur de Moscou : un MacDo sur la place Pouchkine !